Soyez le premier à laisser votre avis sur “Testem benevolentiæ - Contre l’Américanisme” Annuler la réponse
Le culte de l’homme prôné à Vatican II n’y fut pas inventé. 60 années plus tôt, en 1893, eut lieu une réunion à Chicago où toutes les religions tenaient boutique sous la présidence de dix-huit archevêques américains. Le cardinal Gibbons y affirma sans rougir que les représentants des religions voulaient « présenter aux esprits qui cherchent la vérité, les titres respectifs des diverses religions, afin qu’ils puissent embrasser, entre toutes, celle qui s’imposera à leur conscience. »
Après cette affirmation scandaleuse, il y eut encore plusieurs « foires des religions » où l’unique religion se trouvait mise à égalité avec les fausses, fabrications humaines ou diaboliques.
Le pape Léon XIII réagit. Une première admonition n’ayant pas suffit, il écrivit une lettre au cardinal Gibbons, le 22 janvier 1899 : Testem benevolentiæ où toutes les erreurs de « l’Américanisme » sont condamnées : œcuménisme, activisme, naturalisme.
Cette lettre, reproduite ici en latin avec la traduction refaite par l’éditeur, est précédée d’un avant-propos qui retrace l’histoire de cette erreur dans le monde chrétien de l’Amérique.
4,00 €
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.