Ce roman nous parle du communisme…
- Comment, du communisme ? Mais cela n’existe plus, à quoi bon nous rebattre encore les oreilles à son propos ?
- Illusion !... Mais quoi qu’il en soit, le roman ne disserte pas sur la nature du communisme ni sur ses tenants et aboutissants politiques. L’encyclique de Pie XI Divini Redemptoris (19 mars 1937) ou des ouvrages comme La Vieillesse du Monde de Jean Madiran l’ont fait avec une lucidité et une précision inégalables. Ici, Gine Victor raconte la cruelle mainmise du communisme sur la Chine, et elle le fait à travers la belle histoire de deux jumeaux qui…
Ce qui est bien analysé, c’est la manière avec laquelle les soldats et propagandistes du communisme utilisent les blessures laissées par le péché originel et les mettent au service d’un État esclavagiste… L’emprise du communisme et son efficacité meurtrière sont, au sens propre, diaboliques (le mot est de Pie XI).
Même si le communisme avait disparu, il n’en resterait pas moins salutaire d’identifier les leviers perfides qu’il a su manipuler dans notre nature déchue – car eux demeurent toujours prêts à emporter les âmes en défaut de prière et de vigilance.
€ 15,00
Poids | 240 kg |
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Dimensions | 1,5 × 13,5 × 20 cm |
Editeur | Elor |